Mecatol Rex : Acte 1
La rébellion a éclaté sur Mecatol Rex. Depuis la rumeur du retour de Fabius et l'intervention des Flesh tearers, Seth a ouvert la voie aux flottes alliées et inspiré un soulèvement sur la terre même d'Abraham.
Pour mettre fin à la tyrannie dans Calliope, les armées impériales décident d'atteindre d'abord l'industrie principale de Rex, à savoir l'entreprise du Protectorat.
Dans la ville de Kel, Novalis s'est retranché dans un building alors que la révolte se répand au dehors. Le libre marchand attend patiemment d'être évacué à bord d'un Arvus lighter et d'être conduit dans son vaisseau en orbite.
Les armées impériales encerclent Kel et vont tout faire pour l'en empêcher. Abattre Novalis, c'est atteindre le coeur du Protectorat, et c'est par conséquent ralentir l'industrie d'Abraham.
Trois bâtiments sont destructibles et possèdent les caractéristiques suivantes : E 8 / PV 30. Tant que les bâtiments ne sont pas détruits, les deux unités ennemies qui se trouvent dans chacun d'eux peuvent repop au tour suivant si elles ont été détruites.
Novalis se cache dans l'un des bâtiments. Pour le trouver, il faut faire un 6 à 3" du décor (jusqu'au dernier bâtiment). Dès qu'il est repéré, Novalis s'enfuit vers l'Arvus lighter et doit embarquer. Lui (ou son aéronef) joue toujours en premier. L'Arvus lighter doit sortir par la zone de déploiement des unités alliées.
Outre les règles classiques de Coop, on notera la particularité du Stormlord qui est de type CaC et Ct. Il transporte 16 renégats qui doivent débarquer dès qu'ils se trouvent à porter de charge.
POINTS DE VICTOIRE :
- Novalis est tué : +3
- Novalis s'enfuit : -6
- Tuer une unité ennemie : +1 (+3 Stormlord)
- Perdre une unité : -1
- Utiliser le stratagème « nouvelle vague » : -1
DURÉE DE LA PARTIE :
7 tours.
Au T7, quelque soit la nature de l’activation des unités alliées, les unités ennemies jouent deux fois.
STRATÉGÈMES :
Fumigènes : 3 points de cd
Utilisez ce stratagème avant l’activation de l’une de vos unités alliées. Elle ne peut pas être prise pour cible en tant qu’unité alliée la plus proche. L’unité ennemie agit donc en fonction de la deuxième unité alliée la plus proche, et non de la première.
Radio : 2 points de cd
Vous pouvez réaliser une action de coopération sans être obligé d’être en cohésion d’unité.
Leader : 1 point de cd
Utilisez ce stratagème lorsque vous activez une unité, vous pouvez alors activer un personnage simultanément.
Nouvelle vague : 3/5 points de cd (infanterie/véhicule)
Dans votre zone de déploiement, faites revenir une unité précédemment détruite.
Attaque de flanc : 4 points de cd
9“ d’une unité ennemie.
La partie est difficile durant les deux premiers tours. Les renégats sont positionnés en profondeur dans les ruelles de Kel ce qui nous oblige à rester dans notre camp, à temporiser et à attendre surtout que la vague de piétons daigne sortir des trois bâtiments destructibles. Nous parvenons d’ailleurs à faire tomber l’un d’entre eux dès le T1 (Jeff lui enlèvera ses trois derniers PV d’un joli smite).
Au T3 les renforts arrivent : l’escouade de terminators, les vétérans, et les trois Russ grâce au stratagème « Attaque de flanc ». Le Stormlord sombre, la plupart des blindés sont entamés, et nous nous envolons au score.
Novalis demeure introuvable. Il reste alors deux bâtiments à fouiller au T4 lorsque nous stoppons la partie. Nous ne retrouverons donc pas l’intéressé mais il est à ce stade impossible pour les unités ennemies de recoller au score.
Petit regret, nous n'avons même pas pu jouer toutes nos unités : Marbo est toujours à côté de ma tasse de café, deux escouades sont encore dans ma valkoche (avec le colonel Straken), et le pod de Jeff est en orbite...
Sous les ruines de Kel, aucun Catachan ne mettra la main sur Novalis, ou sur son cadavre. Les Imperial Fist sont repartis en orbite, préparant déjà la deuxième offensive – de l’autre côté de Rex, des milliers de renégats sont en marche vers le bastion d’Abraham.
L’étau se resserre. Nombreux se retranchent déjà derrière les fortifications des dieux sombres. Mecatol Rex tient encore debout sous le fracas de la révolte, mais jusqu’à quand ?